soiree-anniversaire-cabinet-de-conseil-monument-historique

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99 Advisory fête ses 10 ans ! Un tel évènement se fête dans un endroit select ! L’Automobile Club autour du thème « ROUTE 99 » est l’occasion de raconter la route que le cabinet a parcouru et ses grands évènements. La « ROUTE 99 » permet aussi de remercier les pilotes et les copilotes qui l’ont conduit jusqu’à ce jour, dérouler la carte des prochaines années, parler « basics » : moteur, essence, roues motrices, freins, bitume…


L’objectif est de rassembler autour d’une carte commune vers un horizon commun. Pour faire vivre un parcours inédit aux invités, il suffit donc d’appuyer sur le champignon !

Depuis la fondation du cabinet jusqu’à son rayonnement actuel, les pilotes de 99 ont voyagé en ouvreur de piste. Aussi, pour leur summer party spéciale anniversaire, HEPHATA leur a ouvert les portes du temple du sport et de l’industrie automobile.

Quel meilleur endroit pour les pionniers, les entrepreneurs mais aussi pour des consultants, experts en conformité et en gestion de projet, que ce lieu ? Le premier club automobile du monde, a été créé en 1895. Cette date marque l’issue de la première course automobile de l’histoire Paris-Bordeaux-Paris. Cet ancien hôtel du Plessis-Bellière, et plus récemment l’ACF devient un centre de réflexion et de recommandation autour des nouveaux enjeux que l’automobile crée et notamment d’un sujet bien connu pour 99 : la norme.

Pour débuter la soirée, place aux discours mais aussi aux remises de médailles ! La partner team reçoit des bouteilles de vin. Ensuite vient le moment des cadeaux… La projection de photos des nouveaux locaux fait sensation. Puis, voici venu La surprise : l’ouverture du rooftop, une vue hors du commun qui vient transformer la soirée ! « Ce soir ils partagent tous un grand plaisir d’être ensemble dans un espace qui leur est quand même réservé, privilégié ». Les propos du Président résument très nettement l’action d’HEPHATA qui ouvre les portes de lieux historiques extraordinaires.

Photobooths et polaroïds sont utilisés sans arrêt pendant que le champagne coule à flots. Une folle ambiance pour une soirée d’anniversaire réussie ! Revivez l’événement ici

Au revoir 99 et merci pour votre engagement auprès du patrimoine historique !

hotel-particulier-paris-seminaire

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Septembre 2019 : Orange réalise son séminaire avec Hephata dans le Paris caché. Un séminaire de rentrée off-site fort sympathique, dans un bel hôtel particulier. Les explorateurs de l’internet des objets pénètrent dans un bel hôtel particulier parisien, qui ne cesse depuis sa création d’être un lieu de rencontres et de connexions ! Un endroit parfait pour se retrouver en petit comité et pour travailler aux projets de rentrée.

Cet hôtel particulier n’est au départ pas une résidence urbaine mais une demeure de campagne à l’abri des regards. Elle servit en effet à camoufler les amours du comte d’Artois avec une actrice de la Comédie française. Et, plus tard, elle abritera celles du Duc de Richelieu. Sous la monarchie de Juillet, c’est la maîtresse de Talleyrand qui y prendra ses quartiers.

Pour Orange, il s’agit d’une journée au vert simple et paisible où l’ébullition parisienne semble bien loin. Les liens se font entre Orange et ce lieu chargé d’histoire ! HEPHATA a su dénicher un lieu en adéquation totale pour recevoir cette entreprise des objets connectés. C’est en effet un lieu qui avait pour mission de l’aider à se diriger et à maintenir son cap ! Il se situe d’ailleurs au bord de l’ancien cardo maximus de Lutèce, cette voie majeure d’une ville romaine qui structure la cité. Un lien avec Thing in the future qui vise à structurer l’internet des objets avant le déploiement de la 5G ? Pivot, point cardinal, des notions clés à l’heure des innovations technologiques rapides.

Organiser ses journées d’étude avec HEPHATA, créateur d’évènements sur mesure, c’est l’assurance de se retrouver dans des lieux où les pierres parlent encore, des lieux où la beauté inspire les réflexions et permet de s’entendre penser. C’est aussi s’engager pour le patrimoine historique. En effet, Hephata reverse 25% des dépenses de l’évènement directement au lieu pour son entretien et sa restauration.

En plus de cela, 10% des bénéfices de cette journée vont à des monuments en péril sous la forme de mécénat de compétences.

Merci Orange d’avoir choisi Hephata pour organiser votre journée d’étude ! Merci Orange pour votre engagement auprès du patrimoine historique !

Hephata_pleniere_engagement_patrimoine

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Doctolib célèbre sa rentrée dans un amphi historique. Hephata lui a choisit le grand amphithéâtre de la Faculté de Médecine pour organiser son évènement de début d’année. Sur les bancs lustrés chaque année par les postérieurs de 8 000 étudiants, Doctolib s’installe pour son évènement de rentrée. Annoncer le programme de l’année prend tout son sens sur de vrais bancs d’école !

L’objectif de rentrée de Doctolib est d’impulser une dynamique puissante pour motiver autour de ses enjeux. Pour HEPHATA, les étudiants de médecine trouveront demain en Doctolib le partenaire facilitant l’exercice de leur métier. En outre, que ce soit pour les médecins libéraux ou pour les hospitaliers, Doctolib vise à améliorer le parcours de santé. Et c’est bien en ces lieux que se trouve un double héritage inspirant. Car, avant de devenir la faculté de médecine de Paris, il s’agissait de l’hôpital de la Charité depuis le XVIIème siècle ! Encore des synergies entre le patrimoine et Doctolib. A côté de Laennec, inventeur du stéthoscope, de Corvisart qui y donnait ses cours, c’est un véritable lieu de transmission. Un endroit idéal pour venir écouter un médecin spécialiste des prises de décision complexes !

Aussi, sur la grande porte de bronze de l’entrée se trouve Asclépios, le dieu grec de la médecine avec sa célèbre couleuvre. C’est un animal qui mue, qui se débarrasse de sa peau pour renaître continuellement. Pour cela, il est un symbole de mort et de renaissance, une destruction créatrice ! Un élément donc très parlant pour Doctolib qui disrupte la manière d’accéder aux soins. Une ancienne manière d’entrer en relation ou de réaliser une consultation est en train de disparaître au profit d’une nouvelle façon de faire. Désormais, on recherche l’efficacité et l’efficience. C’est pour cela que les patients comme les soignants la plébiscite !

Puis vient le deuxième temps de l’événement : la soirée ! Direction la culée d’un célèbre pont parisien, construit pour célébrer l’amitié entre deux peuples. C’est aujourd’hui la convivialité entre Doctolibers français et allemands qui est célébrée. Ce pont donne sur les Invalides qui n’est pas seulement un monument emblématique de Paris, mais d’abord un hôpital majestueux, conçu par Louis XIV pour ses soldats blessés.

Cela nous montre que la beauté n’est pas réservée qu’aux élites. On dit d’ailleurs que l’on reconnaît la grandeur d’une civilisation à la manière dont elle traite ses membres les plus fragiles. Voilà qui donne à penser !

Merci DOCTOLIB d’avoir réalisé votre événement avec HEPHATA pour le patrimoine !

Hephata_teambuilding_chateau

Hephata_teambuilding_chateau

KR Wavemaker organise un team-building médiéval dans un château… « Chers Wavemakers, bienvenue aux confins de l’Hurepoix et du Gâtinais, aux portes de la Beauce ; sur l’ancienne terre des Sénons … » C’est à ces mots qu’a débutée l’extraordinaire journée de notre agence de média en ce début du mois d’octobre de l’An Deux Mil Dix-neuf.

Une véritable plongée dans l’histoire pour un team-building d’exception

Habitués aux campagnes publicitaires, c’est dans un univers de campagnes militaires et diplomatiques qu’Hephata plonge nos participants ! Mais ici pas de logo ni de marque, et pas non plus de réseaux sociaux. Place à une atmosphère où le blason, la chanson de geste et la peinture ont marqué les lieux. Le temps d’une journée, le monde des corporations les accueille. Chaudronniers, ébénistes, charpentiers, maçons, fondeurs, carreleurs, plâtriers, menuisiers, bûcherons, orfèvres et tailleurs rentrent alors en compétition.

Quels compagnons allaient devenir les Bâtisseurs de céans pour bâtir la plus belle merveille du monde ?

Les épreuves sont décisives ! Car à la fin de la journée, un podium et une remise de cadeaux viendront clôturer la journée. Mais pas question de repartir le ventre creux. Un cocktail champêtre est installé dans la cour fermée du château pour un moment convivial inter équipe. Chacun se retrouve alors et débriefe des jeux et des gains. La joie des participants est si manifeste. Elle s’illustre en effet par des danses endiablées avant que chacun ne quitte les lieux à la nuit tombante voire tombée…

Une construction Hephata sur mesure, autour d’ateliers incentive travaillant la cohésion et l’esprit d’équipe

Le but du jeu est clair. Il faut participer aux ateliers que le roi a préparé pour gagner des ressources (PIERRE, BOIS et FER). Chaque corporation doit atteindre des objectifs spécifiques, et ne pas oublier d’accumuler le plus d’OR possible ! Le Challenge de Robin, le Tournoi des Maîtres, la Joute de Lancelot, le Dallage Piégé, le Mariage du Prince, la Poule aux Œufs d’Or, autant de noms d’ateliers qui font rentrer dans l’univers de la journée.

A chaque atelier les corporations sont invitées à travailler leur habileté physique ou leur stratégie de conquête, leur rapidité, leur harmonie de groupe ou leur anticipation, leur communication ou leur organisation de groupe. Tant de qualités qui leur servira dans leur vie de bureaux !

La finalité du team-building ?

Remonter le fil de la grande Histoire pour remonter l’histoire du Groupe et de ses filiales. Un grand moment fédérateur pour contribuer à construire la mémoire collective du groupe. Chaque jeu pousse les équipes à s’organiser et à mieux se connaître afin de remporter la partie. Ainsi, les équipes sont dynamisées par un jeu à fort impact social.

Le choix de KR de financer le patrimoine en organisant une journée historique avec Hephata

Mais pourquoi dans un château ? Entouré de remparts de plus de 700 ans, les dirigeants de KR ont décidé d’organiser cette journée avec Hephata qui finance la restauration des monuments historiques en y organisant des évènements. Ouvrir ce château a en effet permis de le faire vivre et de le faire connaître. En outre, Hephata reverse 10% des bénéfices de cette journée à des monuments en péril sous la forme de mécénat de compétences.

MERCI KR d’avoir laissé parler les pierres à travers vos jeux d’équipe ! MERCI KR d’avoir financé le patrimoine historique !

Doctolib rend sa Summer Party historique en s’engageant pour le patrimoine avec Hephata. Cette année, la soirée est organisée dans un pavillon de chasse parisien. La jeune entreprise à la fois soutient le patrimoine en péril mais aussi rend sa soirée historique !

Dans cet ancien pavillon de chasse, Marcel Cerdan y a boxé, les Sex Pistols y ont chanté, Régine y a dansé, Doctolib a su s’y amuser !

Nous sommes en juillet, la journée a été chaude. On ouvre donc les portes pour laisser l’air pénétrer à l’intérieur de ce lieu historique. Napoléon III y imagina des solutions pour améliorer l’hygiène de son temps. Un hasard ? Notre start-up cherche à améliorer la vie des soignants et à simplifier l’accès aux soins ! C’est donc un endroit parfait pour le « Bal des Toubibs. »

Doctolib est à l’écoute. Son événement de l’été débute par une plénière au sommet. Dehors, les canotiers et les nappes à carreaux attendent donc patiemment. Mais l’esprit guinguette c’est pour après…

Dans cette partie boisée, en lisière de Paris, Napoléon III décide de faire une halte après une journée de chasse. Depuis la terrasse, il aperçoit les ouvriers de l’ingénieur Alphand qui récurent le lac de Saint-Mandé. Le lac cause en effet des problèmes de salubrité publique depuis des décennies. Depuis son séjour à Londres, l’empereur ne pense plus donc qu’à embellir et assainir Paris. Passionné de sciences et mécène de Louis Pasteur, il cherche à améliorer l’hygiène publique et la santé des Parisiens. La ville, surpeuplée, est un foyer d’infections et la dernière épidémie de choléra a fait près de 20 000 morts.

Pour Doctolib ce soir, la soirée a des airs de 14 juillet ! Après la plénière, chacun est alors invité à l’extérieur pour y découvrir l’ambiance de la vraie guinguette d’antan avec ses décorations particulières, sa musique, son atmosphère décontractée… En bref, une soirée pour rassembler autour de bons buffets et de mille petites activités joyeuses et toutes simples. L’ancien pavillon de chasse est d’ailleurs transformé en guinguette à l’aube du XXème siècle, quatre ans à peine après l’arrivée du premier métro à la Porte de Vincennes. Il accueille toutes sortes de publics : des dimanches au bord de l’eau, où vêtus de leurs plus beaux canotiers, les Parisiens venaient « guinguer », enivrés de vin vert aux sons de l’accordéon, jusqu’aux tangos des années folles, l’immense boule à facettes de Philippe Starck n’attendait plus que les Doctolibers… L’alcool coule à flots pour le plaisir de tous.

Doctolib s’est engagé pour le patrimoine historique… Merci d’avoir organisé votre soirée avec Hephata !

Hephata_evenement_responsable_val-doise_au_vert

Hephata_evenement_responsable_val-doise_au_vert

En ce début du mois de septembre 2019, le Conseil départemental du Val d’Oise s’engage pour le patrimoine historique en choisissant les verts prés du Vexin français pour leur séminaire de rentrée.

Une journée ressourçante pour bien commencer l’année !

Au programme de cette belle journée, la rationalité du jugement et l’objectivité du raisonnement. Quel meilleur endroit pour évoquer ces sujets que ce château, pur produit du classicisme à la française qui appartient paradoxalement aux descendants de Joseph de Maistre, archétype du penseur baroque et du romantique ? La salle voûtée des communs accueille la réunion en plénière.

Puis vient l’heure du déjeuner servi dans le grand salon. Ensuite, avant de reprendre des discussions autour de l’inspiration et de l’innovation, c’est le moment de la photo de groupe. Et comment ? Ce lieu où les pierres parlent encore s’y prête si bien ! Hephata tisse des liens entre les enjeux de l’entreprise et la manière dont le lieu y répond. Autant de dialogues qui nourrissent l’évènement et inspirent chacun.

Un engagement choisi pour le patrimoine historique du Vexin

Le Val d’Oise s’engage pour le patrimoine du Vexin. 25% des dépenses de l’évènement sont reversés directement à la sauvegarde du patrimoine. Pour les remercier, les trente-deux directeurs du Val d’Oise ont pu profiter d’une visite privée du château par son propriétaire. Une belle visite qui retrace les moments importants de ce lieu historique et fait découvrir les personnes emblématiques de la famille.

Hephata accompagne les propriétaires de cette demeure familiale dans leur recherche de financements pour restaurer le parc à la française.

Merci le DÉPARTEMENT DU VAL D’OISE pour votre engagement pour le patrimoine et à bientôt !

Comment le Design Thinking peut servir le rayonnement du patrimoine historique ?

L’important à retenir dans cet article :

Le patrimoine est mort. Vive le patrimoine !

A travers le design et la collaboration, les activités liées à la « gestion du passé » vivent un formidable renouveau. Les monuments historiques peuvent en profiter pour s’inscrire dans l’avenir. Encore des clés pour les acteurs, « activateurs » du patrimoine… Le patrimoine va de l’avant ! Suivez-le !

 (image ci-dessus : Lille, capital mondiale du design – admirabledesign.com)

En 2016, la sonnette d’alarme est tirée.

En 2016, près de 3000 monuments seraient officiellement en vente – mais officieusement, il s’agit de tellement plus qu’on n’ose l’écrire. L’Etat diminue de 100 millions d’euros le budget alloué aux sites historiques et 30 départements français ne les financent plus. Onze associations du patrimoine publient ensemble la « Lettre ouverte aux Français et à leurs élus

sur le patrimoine » (Michel de Maule, décembre 2016) contenant 22 propositions pour préserver, conserver et faire rayonner le patrimoine matériel, immatériel, naturel et bâti…

En 2017, les châteaux semblent à l’article de la mort.

La semaine dernière, Stéphane Bern, nommé par Emmanuel Macron pour « recenser les patrimoines en péril » aurait reçu plus de 1700 dossiers (2500 aux dernières nouvelles) et annonce que 7% des châteaux français seraient « en péril ». Même si la notion nous apparait quelque peu audacieuse, il semble qu’une partie de notre patrimoine approche de la fin…

Depuis longtemps, malgré de franches réussites, ce constat fait froid dans le dos.

Pour en savoir plus, ayez la curiosité de taper « Château » dans le moteur de recherche et voyez. Globalement, il y a des blogs lancés par des associations locales pour sauver in extremis un château de la vente aux qataris dont Gignon est un exemple, il y a des articles sur la dernière vente de 150 domaines viticoles bordelais à des Chinois, il y a la description de la destruction « par inadvertance » des 13000 m2 du Château de Bellevuepar son propriétaire russe, il y a « une centaine de châteaux à vendre pour 1 euros » en Italie… il y a…

Des monuments souffrants. Oui, mais ils ont des amis à leur chevet.

Car sur les réseaux sociaux, c’est une autre affaire… On y apprend que des Australienssont invités à acheter des châteaux français moins chers qu’un 3 pièces à Sydney, on y découvre aussi un dynamisme formidable du grand public, le plus souvent, autour d’opérations de sauvetage. Urgence Patrimoine en particulier, mais aussi Adopte un Château, s’activent avec une passion admirable pour venir à bout des silences, des abandons, des pierres qui tombent et, parfois, de la simple inconscience générale.

Le patrimoine est mort ? Aller, vive le patrimoine !

Parce que pour nous, un nouveau patrimoine est né, entrainé par quelques uns !

C’est maintenant l’ère des châteaux des propriétaires entrepreneurs, des gestionnaires responsables, de ceux qui pensent que tradition peut rimer avec innovation, de ceux qui veulent s’enraciner dans une histoire pour grandir celle de demain, de ceux qui cherchent leur autonomie et leur indépendance, en se rendant acteur et « activateur » de territoires, collaborateurs d’initiatives

locales, promoteurs de culture et protecteur de l’identité française, à l’instar du propriétaire du Château de Millemont, qui a profité de l’événement de la COP 21 pour lancer sa POC 21 (« Proof of Concept ») autour de projets novateurs…

A tous ceux là, chapeau !

C’est aussi l’ère des sites qui n’ont pas les solutions mais qui s’activent pour les trouver, en dehors des sentiers battus et rebattus. A tous ceux là, bravo !

Pour accompagner les démarches de chacun, il existe quelques clés. En voici deux.

Le design, une clé pour approcher le passé et « réveiller nos morts ».

Derrière toutes les innovations techniques, il y a le design. Et derrière tous les nouveaux produits, les nouvelles campagnes de communication, les nouvelles offres culturelles, il y a le design.

Derrière le design ? Il y a une volonté de fluidifier, simplifier, améliorer, rendre ergonomique, rendre beau, rendre accessible, pour le plus grand nombre. Le design, c’est « juste » ça ; et c’est « tout » ça.

Pour le Larousse, c’est la « discipline visant à une harmonisation de l’environnement humain, depuis la conception des objets usuels jusqu’à l’urbanisme ».

Pour la Harvard Business Review, le design est arrivé à maturité dans le « design thinking », le « design de la pensée » qui s’éloigne de l’ordre « analytique » pour chercher autrement à répondre à des problèmes, à présenter, à organiser, à chercher.

Il impacte nécessairement la façon d’approcher ou de traiter le passé.

Par exemple, par le développement de l’ « entertainment » (le divertissement) ou de la « gamification » (de « Game », le jeu), le design numérique permet de rapprocher et d’éduquer les jeunes populations aux codes d’avant, avec les codes d’aujourd’hui. Un peu différemment, et en le faussant, les jeux vidéo comme Assassin’s Creed, Age of Empire ou Donjon & Dragons, mettent « le Moyen Âge en jeu » et bénéficient de l’attractivité du passé mystérieux de l’époque médiéviale pour attirer les joueurs d’aujourd’hui.

Dans un registre tout aussi immersif mais plus sérieux, le design numérique tel que pratiqué par 3D Dassault ou liconem dans les reconstitutions numériques du patrimoine historique fait le chemin inverse. Ils fournissent de nouveaux supports attractifs pour visiter le patrimoine ancien, constituant ainsi des supports de travail de grande qualité pour améliorer encore les techniques de construction moderne.

Les design stratégiques, opérationnels ou « produits », font partie de toutes les

organisations qui tirent leur épingle du jeu aujourd’hui. Ils peuvent devenir des moteurs de l’activité de gestionnaires de monuments qui cherchent à réconcilier le passé avec l’avenir. Guédelon a été élu le prochain « château à classer », selon les lecteurs du 20 minutes. Le design n’y est pas pour rien : de l’invention du concept jusqu’à la mise en oeuvre et au style graphique…

Oui, le design est clé !

L’économie collaborative, une clé pour valoriser le passé et le propulser dans l’avenir.

Uber, Airb&b, MyMajorCompany… ces entreprises ont tantôt le vent en poupe, tantôt le vent en proue. Critiquées, fragilisées, c’est tout de même grâce à elles que l’on peut penser possible des actions qui étaient jusque-là impensables.

Elles nous ont fait entrer dans l’ère du « crowd ». Elles ont rendu vraie la maxime « l’union fait la force ». Avec les start-up du patrimoine, signe que les châteaux entrent doucement dans l’ère nouvelle, le renouveau des modèles économiques, juridiques et opérationnels est en marche.

Avec Dartagnans, Rêve de Château, Covoitur’art, OhAhCHeck ! on finance, on accède, on apprend à plusieurs.

Les plateformes ainsi créées permettent de sortir progressivement des systèmes d’apprentissage, de distribution, de communication, de gestion ancestraux pour trouver un nouvel intérêt économique, une nouvelle rentabilité par une redistribution plus équitable de la valeur créée.

Non seulement l’union fait la force, mais elle est indispensable.

Nous pensons qu’il faut aller plus loin. Nous pensons qu’il faut travailler à un « remaillage » de la France des châteaux pour perdurer…

Pour aller plus loin

8 campagnes de communication efficaces

Organiser un Son et Lumières dans un site historique

Le numérique et les parcours de visite augmentés

Comment rendre utile le patrimoine français ? Hephata trouve des solutions d’ingénierie pour valoriser les monuments et les rendre utile à long terme.

L’important à retenir dans cet article :

 Autant en emporte le temps…
C’est FAUX !

Lancée en mars 2017, Hephata trouve des solutions pour valoriser les monuments français et leurs domaines à (très) long terme…

Les châteaux doivent s’ouvrir à la collaboration pour favoriser la transmission

Hephata vient de « ephatta » qui signifie « ouvre-toi » en araméen, la plus vieille langue du monde. Car pour servir l’avenir, il faut se souvenir, c’est à dire créer des liens.

Des liens pour réconcilier le passé avec l’avenir, les anciennes générations avec les nouvelles, les vieilles traditions avec les modes de vie modernes…

Pour cela les propriétaires de châteaux, de manoirs, de palais, de vergers, de potagers et de forêts sont invités à renouveler leurs modes de gestion. Ils doivent s’ouvrir aux nouveaux modèles technologiques, économiques, opérationnels qui sont proposés, inventés et discutés sur notre plateforme, et commencer à changer de vision !

A terme, les acteurs économiques seront invités à développer, valoriser, utiliser, chacun selon ses possibilités, la multiplicité des richesses que peuvent présenter espaces intérieurs et extérieurs d’exception. Bref, chaque initiative, savoir-faire et technologie a sa place pour faire passer le, ou plutôt notre, patrimoine à l’âge adulte…

Pour Hephata, le patrimoine historique est en pleine crise d’adolescence, il n’est pas sénile…

Si nos pierres tombent en ruine, ce n’est ni la faute du temps qui avance, ni des finances mal allouées. C’est la faute de nos lunettes qui sont mal ajustées !

Nos monuments ne sont pas des grabataires à béquilles, inutiles rentiers ou pire, assistés. Ils semblent subir une sévère crise d’adolescence, ne sachant pas à quelle identité, à quelle fonction se vouer.

A l’âge d’enfance, sous la houlette de leurs parents, le siècle-père protecteur, et l’implantation-mère nourricière, ils furent occupés à servir la devise de leur foyer. A l’un reviendra de nourrir avant de s’éteindre (Nutrisco et Extinguo avec François Ier), à l’autre de prier et d’élever la justice (Pietate et Justitia avec Charles IX) ; à celui-là de protéger les deux autres (Duo Praetendit Unus avec Henry IV). Le temps a passé, jusqu’à ce que père et mère ne se décidassent à se tourner vers les nouveaux-nés, père vers l’avenir technologique, mère vers la globalisation.

Ah… la période de l’enfance est douce. Celle de l’adolescence est bien amère, pleine de révolte et de fatigue mélangées face à son sentiment d’inutilité. Et, le corps change, il semble malade, il fait peur. Autant le font les palais qui perdent leurs tuiles, gagnent en crevasse ou perdent leurs eaux. Heureusement, ils ont de fidèles alliés, leurs propriétaires et gestionnaires qui sont, un peu comme eux, inclassables …

Bref, la pauvre pierre adolescente se cherche encore. Elle n’a pas encore trouvé le lien entre sa taille, son poids, son histoire et sa vocation. De fait, elle pense encore souvent que l’unique moyen de se faire investir est de se travestir en fille de son temps, changeante au gré des modes et des envies de ses visiteurs. Tant de gens lui passent alors dessus sans la regarder vraiment, car elle ne les accueille que pour une visite ou pour une nuit. Certes, ces « passages » permettent de payer des crèmes de soin, mais cela ne peut être la solution de tous les patrimoines à long terme…

Chaque patrimoine peut (re-)trouver son rôle, selon ses spécificités territoriales, pour servir l’avenir

L’époque peine à faire le lien entre les « vieilles » pierres et l’innovation. La classification même de l’INSEE marque une frontière claire entre l’activité de gestion de sites historiques et toute autre activité d’exploitation ou de développement économique. Pourtant, aujourd’hui, on peut rarement faire l’un sans l’autre ! Cette barrière conceptuelle qui isole et muséifie d’un seul trait nos monuments loin de la sphère économique ne permet pas d’unifier des principes a priori opposés : la longévité et l’innovation ; le passé et l’avenir ; la mobilité et l’ancrage territorial…

Au contraire, déployer et faire rayonner la France en associant des initiatives complémentaires, voire contraires, c’est possible. Ces lieux historiques, hors-du-commun, ont tous les attributs pour servir les acteurs économiques, culturels et sociaux d’aujourd’hui et de demain. A chacun son échelle : locale, nationale ou internationale.

Conclusion

Chaque monument doit retrouver son utilité, conformément aux besoins de son économie locale mais aussi de ses traditions locales. Pour cela, il faut rouvrir les frontières de la pensée. 

Le tout, sans déloger leurs propriétaires qui leur apportent leur cohérence !

Pour aller plus loin

Transmettre et partager des valeurs avec le patrimoine

Stéphane Bern et le patrimoine : un duo de choc

La sauvegarde du patrimoine au service de l’homme

L’influence du luxe sur le patrimoine historique – Quelle est la place des monuments historiques dans les tendances du luxe de demain?

L’important à retenir dans cet article :

Retour sur la conférence du Luxury Forward

L’hiver dernier, Hephata a participé à la 1ère édition de Luxury Forward au Palais d’Iena. Une journée dédiée à définir les défis, tendances et opportunités du luxe de demain.

Quelle aubaine pour notre patrimoine historique !

Trois principales tendances à retenir : préserver l’authenticité en évitant le musée, réconcilier l’expérientiel et l’éternel, insérer du digital dans le luxe.

L’événement d’envergure internationale a réuni les acteurs du luxe, de la mode, de la tech’ et du conseil, ainsi que quelques personnalités politiques, autour d’un constat commun : les savoir-faire et patrimoines portés par le luxe français sont, et doivent rester, un avantage compétitif majeur de notre économie.

PRESERVER L’AUTHENTICITE EN EVITANT LE MUSEE

« Les marques de luxe possèdent le passé et le présent » (Roland Berger). Leur valeur prend source dans leur histoire et dans le savoir-faire qu’elles ont su faire perdurer. « C’est bien souvent leur artisanat si particulier qui les différencie des autres » (Google). Pourtant, paradoxalement, comme pour les châteaux, « le vrai challenge pour ces marques, c’est d’échapper à la muséification ! » (Real Life Heroes Agency).

Alors, les marques innovent. Shang Xia relève le défi avec brio. Il réunit en effet savoir-faire traditionnel et design contemporain dans ses objets d’ameublement et de décoration. Chaque meuble est associé à une personne et son histoire, lui conférant une personnalité propre, un dynamisme, une créativité, une actualité.

Pour tous ces acteurs, le vrai luxe « c’est de créer pour créer ». C’est l’authenticité de cette création que le public recherche. Or, dans cet acte de création, les espaces historiques sont utiles aux marques tout autant que les marques à ces espaces, en leur apportant une nouvelle histoire.

Van Cleef & Arpels a associé sa nouvelle collection « Peau d’Ane » au château de Chambord, unifiant le nouveau design de ses bijoux avec l’esthétique, l’art à la française et surtout le génie de Léonard de Vinci. Irions-nous donc jusqu’à dire que la collection s’approprie discrètement le caractère innovant des escaliers du château ? Ralph Lauren n’a pas hésité à projeter sur les murs historiques de Bond Street ses collections, s’appropriant leur historicité tout en les rhabillant selon les tendances du moment.
Chanel s’est également imprégné de l’ambiance du château de Versailles pour la sortie de sa nouvelle collection croisière. La marque s’invite ainsi dans ce décor d’exception et profite de son authenticité pour associer le prestige du lieu à son image de marque.

Quant à nos châteaux, sont-ils assez créatifs pour s’ajouter une nouvelle pierre à l’édifice et faire de LEURS histoires, UNE belle histoire à raconter ?Pour y réfléchir, venez à notre prochain brainstorming !

RECONCILIER L’EXPERIENTIEL ET L’ETERNEL

« Le luxe vit une mutation inédite et un déplacement de ses enjeux » (Roland Berger). Les consommateurs changent leur manière de consommer : à l’instar des millenials, ils préfèrent acheter une expérience extraordinaire qu’un objet de luxe. L’expérientiel représente désormais 40% du marché du luxe. Il est donc devenu le moteur de cette industrie avec une croissance de 4,2% par an.

Pourquoi l’« expérientiel » est-il si important ? Le temps est devenu rare, donc précieux. L’espace aussi, dans un monde où l’urbanisation nous dépasse et « nous absorbe ». Plus que tout, l’homme cherche à capter l’instant, figer le temps, s’évader, découvrir l’inexploré. Ceux qui arrivent à exploiter cette quête de temps et d’espace nouveaux sont donc les grands gagnant du tournant.

Ainsi, Sephora a opté pour la création d’expériences uniques en boutique avec un « Beauty Bar » et en ligne avec des conseillères qui discutent inlassablement de vos produits préférés… Pour Vuitton, il ne s’agit pas uniquement d’apporter une expérience autour du produit, mais aussi autour de l’entreprise. Voilà pourquoi, la marque a lancé un Hakathon pour impliquer les employées et les clients autour d’une expérience unique d’innovation sur l’organisation.

Magda Danysz, collectionneuse d’art, pense que le luxe attire d’autant plus qu’il doit se nourrir de l’art et de l’émotion, ce qui relève de l’être et non du paraitre. L’être, c’est bien ce qui s’ancre dans le réel, dans l’instant. En projettant aux châteaux, nous nous apercevons que ce qui marche, ce sont les châteaux « expériences ». Le Château de Guédelon avec ses plus de 300 000 visiteurs par an, connait un succès retentissant. Ainsi en est-il du Château d’Azay-le-Rideau dont les travaux ouverts au public ont permis de maintenir voire augmenter le nombre de visites.

La question à se poser devient : quelle expérience pour quel château ? Ce qui marche c’est de « conjuguer le statut (la tradition) à la pertinence de la création (bon endroit, bon moment) ».

INSERER DU DIGITAL DANS LE LUXE

Loin d’être une menace pour le secteur, le digital représente un considérable levier de croissance.

Comme évoqué précédemment, le luxe nous raconte une histoire, son histoire, et doit utiliser les médias impactants pour atteindre ses consommateurs. Le digital permet alors de faire vivre un avant-goût de ce que sera leur expérience avec la marque (dixit Séphora avec les conseillères en ligne).

Le digital offre aux marques des interactions particulièrement directes avec leurs consommateurs, ce qui améliore l’écoute et la connaissance du marché. A tel point que « aujourd’hui, ce sont les consommateurs, et non plus les marques, qui sont à l’origine des nouvelles tendances » (l’Oréal). La data est devenue le graal des marques. Sa récolte permet une meilleure réactivité.

Et les châteaux dans tout ça ? A l’instar de ces « maisons », pourquoi ne pas profiter de la formidable exposition du digital pour échanger,

partager, construire le modèle économique de demain ? OhAhCheck, la première plateforme qui digitalise le patrimoine culturel commence à créer les outils pour y aider.

OhAhCheck, la plateforme des amoureux du patrimoine

Conclusion

Concluons sur les mots d’Axelle Lemaire, ancienne Secrétaire d’État chargée du Numérique et de l’Innovation. Elle souligne qu’à travers ses mutations, le secteur du luxe a vu apparaître le mot. Aussi, on peut dire que  « c’est une petite révolution culturelle qui est à l’œuvre ».

Pour aller plus loin

Utiliser le patrimoine naturel à des fins marketing

Le luxe et le patrimoine historique sont indissociables

Le modèle économique des châteaux du XXIème

Hériter d’un monument historique : charge ou opportunité ? Hephata a réalisé une étude auprès d’une vingtaine d’enfants et petits-enfants de propriétaires de monument d’exception.

L’important à retenir dans cet article :

 L’étude en cours révèle ses premiers résultats mais ce sondage n’est pas encore représentatif. Néanmoins, il offre une première vision de l’appréhension du patrimoine par les enfants et des problématiques soulevées.

Quel âge avez-vous ?

Dans quelle tranche d’âge sont vos parents ?

Vos 5 raisons de « reprendre » la maison ?

La raison n°1 est le rôle de la transmission et de l’histoire : Faire perdurer ce patrimoine, le transmettre aux générations d’après, la sauvegarde, la transmission depuis l’origine.
Ensuite, en deuxième position vient l’attachement personnel : Sentiment, souvenirs, fierté. Puis vient le tour de la situation et du cadre de vie : Emplacement, esthétique, calme, taille, état, adaptée aux enfants et aux réunions familiales.
Les projets économiques et la valeur immobilière arrivent en quatrième position : faire vivre le lieu. Enfin la cinquième raison est le devoir familial.

Vos 5 raisons de ne pas « reprendre » la maison ?

La première réponse est le manque de moyens financiers c’est à dire d’investissement lié à la reprise, aux entretiens, impôts et charges régulières, travaux lourds.

Ensuite vient la question de la complexité liée à la reprise. En effet beaucoup de difficultés proviennent des indivisions, de la gestion entre frères et sœurs ou encore de la cohabitation des générations difficiles.

Puis vient le  manque de temps et le choix de vie difficile que cela implique de reprendre un château. Car il faut être disponible en permanence. La gestion à distance est complexe et la vie à l’étranger impossible.

En outre, un manque d’attrait pour la maison (moi et/ou la génération suivante) peut empêcher une reprise. Aujourd’hui la préférence pour la ville est visible. Habiter dans un château fait craindre le manque de relations dans la région, la difficulté d’accès.

Enfin, beaucoup d’enfants et petits-enfants ont peur du manque de compétence et du peu d’innovation possible : maison familiale engendre « blocages », manque de connaissances.

Avez-vous la claire vision de la façon dont ce patrimoine est géré (activités, chantiers, revenus, dépenses, personnes impliquées autour de cette propriété…) ?

Avez-vous la claire vision du périmètre délimitant votre propriété (bâtiments, parcelles environnantes) ?

Si vous héritez, là, maintenant, quelles sont vos premières 5 actions ?

Dans l’ordre d’apparition :

– (Re-)découvrir l’environnement naturel / cartographier les espaces existants
– Faire un état des lieux des bâtiments / Estimer les travaux pour une remise en état
– Identifier un repreneur parmi les enfants ou ailleurs
– Estimer la maison
– Identifier les spécificités de la maison et du territoire
– Trouver un moyen de valoriser la maison par l’activité économique autre que la visite
– Régler les détails pratiques avec les notaires
– Gérer l’évolution professionnelle du gardien
– Ouvrir au public
– Sensibiliser les habitants du/des villages alentours pour préserver ensemble le patrimoine de la commune
– Rendre la maison rentable par l’exploitation (forêts, champs…)
– Faire un bilan financier des grands travaux et un business plan à 3, 5 10, 20 ans avec des solutions adaptées pour être à l’équilibre

Qu’est-ce qui vous aiderait à réaliser rapidement ces 5 actions (personnes ou choses) ?

Dans l’ordre d’apparition :

– Trouver des personnes qui pourraient habiter sur place
– Parler avec des propriétaires comme la famille Guyot pour comprendre comment ils ont fait
– Lire des méthodes, des techniques, des études de marché concernant ma gestion (financement, juridique, chantier, développement d’activité, optimisation des espaces)
– Rencontrer un entrepreneur ou un gestionnaire d’activités
– Avoir accès à des experts (notaires, avocat, fiscaliste, conseiller en patrimoine…)
– Utiliser des outils pratiques (tableaux de bord, suivi de trésorerie, états des lieux…)
– Lire de la documentation sur ma propriété (cadastres, dossiers, archives…)

Hériter d’un monument historique : charge ou opportunité ? Savez-vous répondre à cette question ?

Pour aller plus loin

Réaliser une bonne analyse territoriale

Comment faciliter l’accès d’un monument éloigné ?

Comment gérer un château aux allures de village ?